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50 messages.
Bonjour, je suis dans la lecture de parasite depuis ce jour, je suis fan de littérature de science fiction d' horreur et de thriller depuis l'âge de 12 ans soit depuis 33 ans et je trouve le roman excellent digne d'un maxime chattam, Ezekiel Boone, brossolo. Merci, je termine celui là et je me lance dans les 2 autres. Merci je passe le mot à tous les lecteurs de mon entourage.
Vincent
Vincent
Parasite : Difficile de trouver le sommeil en lisant ce livre. Le passé/présent donne un sacré rythme à la lecture. J'ai adoré les clins d'oeil aux années 80. Les personnages sont attachants. Une lecture totalement addictive. En bref,je recommande ce livre. Bravo Arnaud , vivement le prochain
Dès la tour de sélénité, je suis devenue fan. Je viens de terminer parasite et une chose est sûre, maintenant je suis ARCHI fan !!!! J´ai grandi à Wallers Arenberg j´ai donc été absorbée par cette histoire terrifiante qui se passe «dans notre coin». Tout y est pour nous tenir en haleine, nous faire tressaillir le palpitant.
J´ai hâte de vous retrouver à l´espace culturel de Leclerc Bellaing pour la dédicace de votre quatrième opus, qui j´en suis certaine, nous fera ressentir cette angoisse si familière maintenant.
J´ai hâte de vous retrouver à l´espace culturel de Leclerc Bellaing pour la dédicace de votre quatrième opus, qui j´en suis certaine, nous fera ressentir cette angoisse si familière maintenant.
J'ai été directement attirée par le titre et la couverture du livre lors du salon du livre de La Couture.
Je l'avoue j'ai été prise directement par l'histoire, elle est intrigante, gore et triste. Je l'imagine très bien en film d'horreur 🙂
Cependant j'ai des questions, qui resteront surement sans réponse car je ne veux pas trop en dévoiler pour les futurs lecteurs.
En tout cas merci de m'avoir embarqué dans cet univers
La Cruell
Je l'avoue j'ai été prise directement par l'histoire, elle est intrigante, gore et triste. Je l'imagine très bien en film d'horreur 🙂
Cependant j'ai des questions, qui resteront surement sans réponse car je ne veux pas trop en dévoiler pour les futurs lecteurs.
En tout cas merci de m'avoir embarqué dans cet univers
La Cruell
Parasite… un parasite est un organisme qui s’infiltre en vous. Il vit à vos dépens et met votre organisme en danger, l’affaiblissant, le pompant, modifiant l’être que vous êtes pour se nourrir et user de vous.
Quoi de plus terrifiant qu’être à la merci d’un hôte indésirable ? quoi de plus terrible qu’être livré à ce parasite ?
4 jeunes adolescents enfourchent leur bicyclette pour vivre les derniers instants de leurs vacances d’été. 1982 … J’avais 16 ans en 1982 et même si j’étais alors plus âgée que ces mômes, je me souviens très bien de mes préoccupations 2 ans plus tôt. Partir à vélo explorer les forêts environnantes, faire les 400 coups avec mes potes, nous foutre la trouille, penser avoir découvert le Graal au détour d’un chemin sous la forme d’une vieille ruine que nous pensions être les premiers à explorer, fumer en cachette croyant nos parents assez stupides pour ne pas s’en apercevoir et nous croire immortels… surtout nous croire immortels, et bêtement nous croire immortels.
Quand j’ai découvert les premières pages de Parasite, j’ai été immédiatement projetée dans les années 80 auprès de gamins qui auraient pu être mes amis, qui ressemblaient à s’y méprendre à mes amis. Et c’est troublant. Arnaud Codeville nous livre là une peinture extrêmement réaliste de ces années-là. On a tous croisé et fréquenté des Alexandre, Samuel, Chloé et Ben ; mieux on a tous de ces petits en nous. Leur univers n’est ni caricatural ni banal il est juste le reflet de la réalité. L’auteur aborde leur vie comme un portrait de la société minière des années post 30 glorieuses et ce portrait est douloureux car il nous renvoie à des heures difficiles dans le Nord de la France. Arnaud Codeville profite de son récit pour aborder des questions plus profondes comme la situation dans les bassins houillers qui terminent leur histoire après déjà 20 ans de crise. Il parle d’alcoolisme, de chômage, de violences familiales, de décès. Ces gosses en ont déjà bien bavé avant de faire la rencontre de leur vie. Et cette rencontre va bouleverser leurs jeunes existences déjà bien malmenées.
J’avais un jour dit que ce que j’aime chez un auteur c’est sa capacité à me raconter son histoire en provoquant chez moi des ah, des oh, des rires, des larmes, de l’inquiétude voire de la peur et surtout du wiiiiz. Bref de me surprendre ! Ce roman a provoqué tout ça chez moi.
Les personnages ont une épaisseur qui est déroutante. Ils sont toujours vrais et ont cette étonnante capacité qu’ont les adolescents à garder leur âme de mômes à l’approche de l’âge adulte. Vous savez, cette incroyable aptitude à rire malgré les pires situations, ce don qu’on perd en gagnant du poil au menton. En outre, le style très visuel, très cinématographique d’Arnaud Codeville permet à ce récit d’offrir des accents de véracité troublants, très propices à la peur. La plume de l’auteur prend de l’assurance et cela pour notre plus grand plaisir. Plus sûre mais aussi plus fine elle progresse de roman en roman et ce que j’avais perçu avec la tour de sélénite qui se confirmait avec 1974 éclate dans Parasite.
Un parasite n’est jamais bienveillant, il est dangereux pour son hôte. Peut-être est-il déjà en vous ?
Je ne peux que vous souhaiter de ne pas sortir indemne de cette lecture et qu’elle vous accompagne au-delà du sentiment de peur sur un continent qui porte le nom de Terreur.
Quoi de plus terrifiant qu’être à la merci d’un hôte indésirable ? quoi de plus terrible qu’être livré à ce parasite ?
4 jeunes adolescents enfourchent leur bicyclette pour vivre les derniers instants de leurs vacances d’été. 1982 … J’avais 16 ans en 1982 et même si j’étais alors plus âgée que ces mômes, je me souviens très bien de mes préoccupations 2 ans plus tôt. Partir à vélo explorer les forêts environnantes, faire les 400 coups avec mes potes, nous foutre la trouille, penser avoir découvert le Graal au détour d’un chemin sous la forme d’une vieille ruine que nous pensions être les premiers à explorer, fumer en cachette croyant nos parents assez stupides pour ne pas s’en apercevoir et nous croire immortels… surtout nous croire immortels, et bêtement nous croire immortels.
Quand j’ai découvert les premières pages de Parasite, j’ai été immédiatement projetée dans les années 80 auprès de gamins qui auraient pu être mes amis, qui ressemblaient à s’y méprendre à mes amis. Et c’est troublant. Arnaud Codeville nous livre là une peinture extrêmement réaliste de ces années-là. On a tous croisé et fréquenté des Alexandre, Samuel, Chloé et Ben ; mieux on a tous de ces petits en nous. Leur univers n’est ni caricatural ni banal il est juste le reflet de la réalité. L’auteur aborde leur vie comme un portrait de la société minière des années post 30 glorieuses et ce portrait est douloureux car il nous renvoie à des heures difficiles dans le Nord de la France. Arnaud Codeville profite de son récit pour aborder des questions plus profondes comme la situation dans les bassins houillers qui terminent leur histoire après déjà 20 ans de crise. Il parle d’alcoolisme, de chômage, de violences familiales, de décès. Ces gosses en ont déjà bien bavé avant de faire la rencontre de leur vie. Et cette rencontre va bouleverser leurs jeunes existences déjà bien malmenées.
J’avais un jour dit que ce que j’aime chez un auteur c’est sa capacité à me raconter son histoire en provoquant chez moi des ah, des oh, des rires, des larmes, de l’inquiétude voire de la peur et surtout du wiiiiz. Bref de me surprendre ! Ce roman a provoqué tout ça chez moi.
Les personnages ont une épaisseur qui est déroutante. Ils sont toujours vrais et ont cette étonnante capacité qu’ont les adolescents à garder leur âme de mômes à l’approche de l’âge adulte. Vous savez, cette incroyable aptitude à rire malgré les pires situations, ce don qu’on perd en gagnant du poil au menton. En outre, le style très visuel, très cinématographique d’Arnaud Codeville permet à ce récit d’offrir des accents de véracité troublants, très propices à la peur. La plume de l’auteur prend de l’assurance et cela pour notre plus grand plaisir. Plus sûre mais aussi plus fine elle progresse de roman en roman et ce que j’avais perçu avec la tour de sélénite qui se confirmait avec 1974 éclate dans Parasite.
Un parasite n’est jamais bienveillant, il est dangereux pour son hôte. Peut-être est-il déjà en vous ?
Je ne peux que vous souhaiter de ne pas sortir indemne de cette lecture et qu’elle vous accompagne au-delà du sentiment de peur sur un continent qui porte le nom de Terreur.
Je viens de finir la Tour De Sélénité et j'ai adoré!!!
Après avoir discuté avec Arnaud lors des Alliénales le 7 Octobre à Hallennes les Haubourdin, j'étais convaincu que je ne faisais pas une erreur d'acheter son livre. Mais une fois pris dans l'histoire et la fluidité de l'action, j'ai dévoré le roman et je ne souhaite qu'une chose : en lire beaucoup plus! 🙂
Merci à Arnaud pour son oeuvre !
Après avoir discuté avec Arnaud lors des Alliénales le 7 Octobre à Hallennes les Haubourdin, j'étais convaincu que je ne faisais pas une erreur d'acheter son livre. Mais une fois pris dans l'histoire et la fluidité de l'action, j'ai dévoré le roman et je ne souhaite qu'une chose : en lire beaucoup plus! 🙂
Merci à Arnaud pour son oeuvre !
bonjour,
Je craque je commande, j adore la mise en bouche et je suis fan de ce type de roman.. Bravo
je fais partir mes réservations tout de suite .. Merci Arnaud pour ces créa..
Amicalement
joel vermont
Je craque je commande, j adore la mise en bouche et je suis fan de ce type de roman.. Bravo
je fais partir mes réservations tout de suite .. Merci Arnaud pour ces créa..
Amicalement
joel vermont
Voilà,
je viens de terminer "1974"...Fidèle lecteur de ce genre de littérature, je dois dire que "La Tour de sélénite" m' a vraiment (mais vraiment!!) donné des frissons et j'ai dévoré ce livre !!! Une merveille du genre... et un affreux sentiment de manque lorsque je l'ai terminé....Heureusement que "1974" était là.
Et bien que dire à me part répéter !! On y entre et on n'en sort plus, quitte à passer des nuits blanches (de toute façon certains passages m'auraient empêcher de fermer l’œil); j'ai adoré!!!
Merci Mr Codeville!!
A bientôt !!
je viens de terminer "1974"...Fidèle lecteur de ce genre de littérature, je dois dire que "La Tour de sélénite" m' a vraiment (mais vraiment!!) donné des frissons et j'ai dévoré ce livre !!! Une merveille du genre... et un affreux sentiment de manque lorsque je l'ai terminé....Heureusement que "1974" était là.
Et bien que dire à me part répéter !! On y entre et on n'en sort plus, quitte à passer des nuits blanches (de toute façon certains passages m'auraient empêcher de fermer l’œil); j'ai adoré!!!
Merci Mr Codeville!!
A bientôt !!
Merci
Aujourd'hui est un grand jour : je découvre qu'un nouveau roman est disponible!!!! =)
J'ai adoré "La tour de sélénite", en 2 jours il était lu grâce à l'ambiance globale du roman et surtout la fin de l'histoire m'amène à attendre avec impatience un prochain livre. (Souvent déçue par la fin des romans terreur/horreur).
Alors, il est temps que je m'évade de notre monde réel pour plonger dans un autre univers qui est raconté avec talent.
Aujourd'hui est un grand jour : je découvre qu'un nouveau roman est disponible!!!! =)
J'ai adoré "La tour de sélénite", en 2 jours il était lu grâce à l'ambiance globale du roman et surtout la fin de l'histoire m'amène à attendre avec impatience un prochain livre. (Souvent déçue par la fin des romans terreur/horreur).
Alors, il est temps que je m'évade de notre monde réel pour plonger dans un autre univers qui est raconté avec talent.
J'ai lu vos deux livres en quelques jours chacun...
Que dire...
Une plongée dans l'angoisse la plus pure, dans l'ombre, les ténèbres...
A chaque bruit suspect, a chaque craquement, la sensation que quelqu'un nous observe ou la sensation d'une présence proche mais fantomatique...
Deux très bons livres, écrits de tel sorte de susciter l'envie de ne pas s'arrêter au chapitre suivant...
Deux très bons livres que je m'empresse déjà a clamer autour de moi!!Un style particulier, le votre!!
Continuez ainsi, j'attend un troisième ouvrage avec impatience!!!
Nicolas!
Que dire...
Une plongée dans l'angoisse la plus pure, dans l'ombre, les ténèbres...
A chaque bruit suspect, a chaque craquement, la sensation que quelqu'un nous observe ou la sensation d'une présence proche mais fantomatique...
Deux très bons livres, écrits de tel sorte de susciter l'envie de ne pas s'arrêter au chapitre suivant...
Deux très bons livres que je m'empresse déjà a clamer autour de moi!!Un style particulier, le votre!!
Continuez ainsi, j'attend un troisième ouvrage avec impatience!!!
Nicolas!